Il s'était mis à pleuvoir violemment. La pluie fouettait le toit et roulait dans les gouttières débordées avec un fracas de torrent déchaîné.
Pourtant, j'ai distinctement entendu les trois coups frappés contre la vitre.
Quand j'ai ouvert la porte de la véranda, il se tenait devant moi si pitoyable que je l'ai fait entrer. [...]
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Café du Progrès

La femme au chat
Je m'étais tout simplement arrêté derrière elle au feu rouge. Elle revenait, comme moi, du centre commercial, et s'apprêtait à rejoindre, à gauche, la route de La Chapelle. [...]
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Tintin à Saint-Nazaire

La Côte Sainte-Catherine

J'ai lu quelque part qu'on soigne ainsi les victimes dont les souvenirs post-traumatiques sont impossibles à affronter : en leur proposant de leur histoire des récits supportables, qui peu à peu se substituent à l'expérience irracontable. Alors la fiction remplaçant peu à peu l'horreur permet à la vie de se reconstruire, comme un roman dont on aurait déchiré les pages trop noires, pour les remplacer par de plus claires. C'est troublant, c'est peut-être inquiétant, et pourtant c'est si simple, si humain : nous ne sommes que récit, et la fiction est notre unique vérité. On prête à Flaubert ce mot : "Emma Bovary, c'est moi"... Peut-être n'est-il pas authentique, mais rien n'est plus certain : Emma, c'est lui, c'est moi, c'est nous, ce n'est personne, et c'est toujours elle.
Les 47 morceaux du pot de chambre de Beethoven

Paganini: Violin Concerto No.2 in B minor, Op.7 - 3. Rondo à la clochette, 'La campanella' Ivry Gitlis - Portrait-
La tache

L'ange des ruines

Une fenêtre sur le monde

La farce, l'énigme et la laisse en abyme
