Ce chien, ce chien... Il l'avait réveillée bien avant l'aube, ce matin. Et il continuait... il continuait... C'était exaspérant. Elle ouvrit les volets, se pencha un instant à la fenêtre... Qu'est-ce qu'il avait donc, ce chien ? Pourquoi les gens avaient-ils des chiens ? Etait-ce vraiment pour exaspérer leurs voisins ? Et brusquement elle entendit : derrière l'appel du chien, il y avait un autre appel... un miaulement de terreur... Et un autre appel encore, celui d'une vieille voix, une voix de femme, qui répétait doucement : "Eléonore, descends ! descends, Eléonore..."[...]
Suite du récit à lire sur mon blog de nouvelles cheminderonde.wordpress.com
Un monde si pâle

Les chaises

Les heures
Je m'étais un peu égaré... Le lieu était si inhospitalier, vertigineux, confus... sentiers tournoyants et rivages en méandres, marécages exhalant leurs brouillards... Et personne pour vous indiquer le chemin, rien que des ombres s'esquivant, de vagues silhouettes qui paraissaient ne rien entendre... Pas un panneau, pas un hameau, pas une guérite, pas une sentinelle...
J'ai tout de même fini par tomber sur un bâtiment presque en ruines qui émergeait des brumes entassées. Une porte vitrée indiquait : " Bureau des entrées"...
J'ai poussé la porte [...]
Suite du récit à lire sur mon blog de récits et nouvelles cheminderonde.wordpress.com
La coccinelle

Scotch encore

Un oiseau dans la ville

Pas de photos !

Music saves the world - suite discordante
Je ne me doutais pas, en publiant mon petit article sur le pianiste de la place du Commerce, que je lirais ceci aujourd'hui dans le journal local : http://www.presseocean.fr/actualite/nantes-le-pianiste-compose-avec-les-pv-21-05-2014-108040
Nantes Le pianiste compose avec les PV

"Occupation illégale du domaine publique", circulez...
Photo PO-Eric Cabanas
"Occupation illégale du domaine publique", circulez...
Photo PO-Eric Cabanas
Il règne comme une ambiance d’été ce vendredi soir, place du Commerce. Les Nantais attablés aux terrasses jouissent du moment et des mélodies d’un piano qui adoucissent l’air. Pierre-Henri Weiss, pianiste de rue depuis des années, joue au milieu du site.
C’est un habitué de la place du Commerce et du quartier Bouffay. « Il y a un côté chaleureux dans le piano de rue, plaide-t-il. Seuls ceux qui aiment restent écouter. Cela rapproche aussi les gens autour du piano, cela permet de communiquer ». Parfois il fait une pause et prête son piano aux passants. Quelques badauds savourent ainsi le moment. Pas seulement, car ce vendredi une équipe de policiers municipaux s’affaire autour de l’artiste. « Nous le verbalisons pour occupation illégale du domaine public », précise l’un des policiers. Le charme tombe… Cet air de piano qui a coloré la place un moment, est remplacé par une explication tendue. Pierre-Henri Weiss ne s’en laisse pas compter. Il aurait pu faire du théâtre. Le conflit avec les agents municipaux ne date manifestement pas d’hier.
À Nantes, il n’existe pas de réglementation particulière pour les musiciens de rue. Seule condition fixée : qu’il n’y ait pas de trouble à l’ordre public, ni entrave à la circulation des véhicules et piétons. La direction de la réglementation et de la gestion de l’espace public prévoit une déclaration en mairie, dans un délai de quinze jours, avant une manifestation. Les organisateurs reçoivent alors un arrêté individuel, qui peut être révoqué si la réglementation n’est pas respectée. Dans les faits, rares sont les musiciens qui déclarent les lieux et horaires où ils vont jouer… La musique adoucit les mœurs, dit-on. Mais pas ce vendredi soir place du Commerce.
(*) Contacté, l'adjoint en charge de la Sécurité Publique n'a pas répondu à nos sollicitations
Photo PO-Eric Cabanas
Il règne comme une ambiance d’été ce vendredi soir, place du Commerce. Les Nantais attablés aux terrasses jouissent du moment et des mélodies d’un piano qui adoucissent l’air. Pierre-Henri Weiss, pianiste de rue depuis des années, joue au milieu du site.
C’est un habitué de la place du Commerce et du quartier Bouffay. « Il y a un côté chaleureux dans le piano de rue, plaide-t-il. Seuls ceux qui aiment restent écouter. Cela rapproche aussi les gens autour du piano, cela permet de communiquer ». Parfois il fait une pause et prête son piano aux passants. Quelques badauds savourent ainsi le moment. Pas seulement, car ce vendredi une équipe de policiers municipaux s’affaire autour de l’artiste. « Nous le verbalisons pour occupation illégale du domaine public », précise l’un des policiers. Le charme tombe… Cet air de piano qui a coloré la place un moment, est remplacé par une explication tendue. Pierre-Henri Weiss ne s’en laisse pas compter. Il aurait pu faire du théâtre. Le conflit avec les agents municipaux ne date manifestement pas d’hier.
À Nantes, il n’existe pas de réglementation particulière pour les musiciens de rue. Seule condition fixée : qu’il n’y ait pas de trouble à l’ordre public, ni entrave à la circulation des véhicules et piétons. La direction de la réglementation et de la gestion de l’espace public prévoit une déclaration en mairie, dans un délai de quinze jours, avant une manifestation. Les organisateurs reçoivent alors un arrêté individuel, qui peut être révoqué si la réglementation n’est pas respectée. Dans les faits, rares sont les musiciens qui déclarent les lieux et horaires où ils vont jouer… La musique adoucit les mœurs, dit-on. Mais pas ce vendredi soir place du Commerce.
(*) Contacté, l'adjoint en charge de la Sécurité Publique n'a pas répondu à nos sollicitations
Rue Racine
C'était un soir de mai si doux. Un soleil tiède hésitait sur le seuil, devant la porte entrebâillée, secouant la poussière comme un rideau léger. Au fond du magasin plein d'ombre, Gilbert Kaefer, le vieux propriétaire de la "Librairie classique et moderne" de la rue Racine, accoudé à son comptoir, rêvait [...]
Récit du jour à lire sur mon blog de récits et nouvelles cheminderonde.wordpress.com