Poussière de lune
Sur la piste, elle dansait seule, les yeux mi-clos.
La piste, évidemment, n'aurait pas pu contenir une foule. C'était une piste de bois démontable et transportable, un plancher étroit qui n'aurait pas supporté le poids d'une foule, mais ce soir, vraiment, on pouvait dire que les danseurs se faisaient rares.
Elle était arrivée la première, et, longtemps, elle était restée seule, à tourner toute seule, les bras légèrement entrouverts. Puis était arrivée une grand-mère alerte qui avait dansé avec sa petite-fille, et deux très vieilles femmes qui avaient valsé ensemble à tout petits pas. Finalement, elles avaient été cinq, sur le plancher de bois. Cinq femmes sans hommes. [...]
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