L'étoile
Jamais vu un 24 décembre pareil.
Jamais.
De tout l'après-midi, ça n'a pas arrêté.
D'abord...
... il était peut-être trois heures-trois heures et quart...
D'abord... le taxi parisien.
Il a freiné devant mon bar-tabac-dépôt de pain-agence postale. Le chauffeur est descendu, il a cogné au carreau. J'ai ouvert. Un peu. Avec la neige qui tombait, vous comprenez... Si j'avais su, j'aurais ouvert plus grand. Mais avec la neige, et la nuit qui venait déjà [...]
Suite du récit sur mon blog de récits et nouvelles cheminderonde.wordpress.com