Quarante-huit heures en janvier
Chacun le sait, et il est inutile, direz-vous, que je rappelle ces faits maintenant sus par coeur. Je le ferai cependant, car j'écris aussi pour après. Il faut toujours écrire maintenant pour après, ou au moins en se demandant comment on lira, après. Même si, bien sûr, on ne relit jamais [...]
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