Le train de 18h03
Il était 18 heures passées, un soleil rouge et glacé se couchait sur la ville, et déjà on avait tiré les stores, quand Joseph Pentecoutant se souvint qu'il avait un train à prendre. Il fut surpris de n'avoir aucune peine à se lever de ce lit de fer étroit qui était peu à peu devenu sa prison, et où sa vieille chair s'était si longtemps tourmentée d'escarres. D'un bond léger il se dressa sur ses jambes et poussa la porte. La voie était tout à fait libre. [...]
Suite du récit à lire sur mon blog cheminderonde.wordpress.com