Langsam

Publié le par Carole

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    A l'ombre du château, le bouquiniste vend de vieilles cartes postales. Morceaux de cartons jaunis, dérisoires, émouvants, impudiques. Traces de vies brassées et dispersées par les brocanteurs qui vident les tiroirs et nettoient les greniers, après les successions. [...]
Pour lire la suite du récit sur mon blog cheminderonde.wordpress.com, cliquez sur le lien: http://cheminderonde.wordpress.com/2013/09/05/langsam-wird-es-herbst/

Publié dans Récits et nouvelles

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C
Je vais sur ton chemin de ronde, je suis ce fil d'Ariane qui me fait traverser des forêts de cartes jaunies et tellement humaines, papiers griffés par les lèvres du temps...<br /> Belle soirée Carole, amitiés<br /> Cendrine
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G
Lentement c'est bien le terme qui convient pour cet endroit bucolique
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A
J'aime bien aussi fouiller, aux étalages des brocanteurs, dans ces vieilles cartes postales ou dans ces vieux albums photos parfois, lire les mots griffonnés au dos et imaginer ces vies enfuies,<br /> ces gens d'autrefois avec des vies si différentes des nôtres et qui, pourtant ressentaient les mêmes émotions que nous, faisaient les mêmes erreurs, avaient les mêmes regrets,les mêmes<br /> bonheurs...Très joli texte, Carole, comme d'habitude (j'allais dire: à lire "les yeux fermés", mais les yeux bien ouverts, c'est mieux!)
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C
<br /> <br /> Merci Anne-Marie. En effet il faut toujours garder les yeux ouverts, il y a tant de choses à voir - et à deviner aussi, autour de nous.<br /> <br /> <br /> <br />