Casimir
Nous, on y a jamais cru.
Quand ils sont venus l'arrêter, qu'on l'a vu descendre de sa camionnette, tendre les mains vers les menottes, et puis s'asseoir dans le fourgon des gendarmes, sans protester, sans se cacher le visage comme ils font tous... Quand on l'a vu partir, tranquille, poli, exactement comme il était toujours, on a été stupéfaits - non, c'est pas un mot assez fort, stupéfaits [...]
Suite du récit sur mon blog de récits et nouvelles cheminderonde.wordpress.com